Résultats partiels : Lait de vache et de chèvre
Retrouvez les résultats partiels de 2017 sur le lait de vache et le lait de chèvre.
Retrouvez les résultats partiels de 2017 sur le lait de vache et le lait de chèvre.
Le livre blanc « Références agricoles » est rédigé par nos conseillers Cerfrance spécialisés en agriculture, il a pour objet de vous présenter l’analyse et les perspectives des différents filières agricoles : production laitière,production caprine, production porcine, aviculture, cuniculture et les grandes cultures.
Retrouvez les résultats 2017 des éleveurs de chèvres Vendéens ainsi que les perspectives 2018 par les conseillers spécialisés Cerfrance Vendée. Pour télécharger, l’ensemble des résultats cliquez-ici.
Le livret est rédigé par nos conseillers Cerfrance spécialisés en agriculture, il a pour objet de vous présenter l’analyse et les perspectives des différents filières agricoles : production laitière, production caprine, production porcine, aviculture, cuniculture, les grandes cultures et les productions végétales.
Essentiellement localisées en Maine et Loire et Vendée, les exploitations caprines des Pays de la Loire regroupent en moyenne près de 380 chèvres. Cette taille élevée des troupeaux est l’un des éléments caractéristiques de la filière ligérienne. Elle se distingue ainsi des autres régions où l’on compte une centaine de chèvres en moins. Côté production, la région se place au deuxième rang sur le territoire national.
Appuyé par la progression des prix et la baisse des coûts de production, le résultat net progresse à nouveau pour atteindre près de 30 000 € / UTHF.
Alors que l’année 2013 avait été marquée par une crise sans précédent, entre prix au plus bas et flambée des charges, une augmentation continue des performances est observée depuis 2014. Et alors que la tendance haussière des marchés perdure, l’année 2016 est caractérisée par une baisse des coûts alimentaires.
Face à l’embellie, des questionnements subsistent néanmoins quant à la sensibilité de la filière à un retournement des prix. Notamment dans un cadre où la gestion des volumes reste déterminante.
Avec plus de 250 € / 1 000 L, l’alimentation occupe plus de 80 % des charges opérationnelles de l’atelier caprin. La qualité des fourrages, tout comme le prix des aliments, reste donc des facteurs déterminants de la rentabilité des élevages.
Des voies d’optimisation subsistent à la vue des résultats des meilleurs ateliers avec :
• une meilleure rationalisation des charges,
• un bon niveau de productivité par chèvre,
• une valorisation du lait supérieure à la moyenne,
• une meilleure efficacité alimentaire, portée par la productivité et l’homogénéité des lots.
Comme chaque année, les délégués Cerfrance Vendée ainsi que les acteurs des filières agricoles, étaient invités pour la présentation des 1ers résultats partiels 2016 des exploitations agricoles Vendéennes.
Ces résultats sont partiels et permettent d’avoir une 1ère vision des résultats économiques agricoles en Vendée. Présenté par Production, vous pouvez consulter le document de synthèse en cliquant sur l’image ci-dessous :
Ce temps fort a également été filmé.
Ecoutez l’analyse et la présentation complète de nos conseillers ICI
Les conseillers de Cerfrance Vendée organisent une réunion d’information-débat sur les résultats agricoles vendéens 2016 mardi 21 mars de 09 h 45 à 12h.
A la suite de cette présentation, des agriculteurs participeront à une table ronde, animée par Sandra Billy, animatrice sur TV Vendée, sur le thème « la réussite est dans le pré ».
L’occasion également de présenter les résultats du 1er baromètre 2017 des agriculteurs Vendéens.
Vous êtes intéressé par cet événement ? Inscrivez vous ICI pour recevoir le lien;
Téléchargez le livre blanc des références économiques 2016 ici : Références économiques 2016
L’amortissement exceptionnel consiste à amortir 40% du prix du bâtiment linéairement sur 5 ans, puis d’amortir le solde sur la durée restante.
Cette mesure permet donc d’amortir plus rapidement un bâtiment d’élevage et d’économiser de la MSA et de l’impôt les 5 premières années. Par contre l’amortissement sera plus faible les années suivantes.
Il s’applique aux bâtiments affectés aux activités d’élevage (construits ou achetés), aux matériels et installations destinés au stockage des effluents d’élevage et aux travaux de rénovation.
L’amortissement exceptionnel concerne les achats, constructions et travaux réalisés entre le 01/01/2016 et le 31/12/2017.
Le dispositif concerne les entreprises au bénéfice réel ou à l’impôt sur les sociétés, il est optionnel et doit être comptabilisé au plus tard au cours du 3ème exercice suivant celui de la construction, de l’achat ou de la réalisation des travaux de rénovation.
Pour en savoir +, rdv sur : www.agrizone.net/news/comment-amenager-vos-batiments-d-elevage-bovin.75
Il n’est pas nécessaire d’avoir bénéficié du FAC viande, porc ou élevage de l’automne 2015 pour bénéficier du FAC 2 élevage. Le FAC 2 élevage consiste en la prise en charge partielle des frais liés à une garantie BPI ou à une restructuration bancaire éligible au dispositif. Dans ce cas, le premier interlocuteur à contacter pour savoir si vous êtes éligible est votre banque. Les dossiers sont à déposer jusqu’au 31 octobre 2016.
Dernière minute
Un communiqué du ministère de l’agriculture daté du 7 juin, nous informe :
Rappel : Le FAC élevage de l’automne dernier comportait 3 volets :
– Le volet a, correspondant à la prise en charge partielle des intérêts d’emprunts ; ce dossier est clos.
– Le volet b, correspondant à la prise en charge partielle du coût de la garantie BPI
– Le volet c, correspondant à la prise en charge partielle des surcoûts liés à une restructuration bancaire.
Le FAC 2 élevage est le prolongement des volets b et c du FAC jusqu’au 30/06/2016. Il ne concerne donc que les exploitations ayant fait l’objet d’une garantie BPI ou d’une restructuration bancaire éligible au dispositif. Voir la dernière newsletter pour plus d’informations.
NB : Les éleveurs peuvent ne pas avoir été éligibles au FAC en 2015, et être éligibles au FAC 2 élevage.
Pour les exploitations éligibles, le processus de constitution et de dépôt des dossiers défini par la cellule d’urgence est le suivant :
1- L’exploitant demande à sa banque s’il est éligible au dispositif. Si oui la banque fournit l’annexe 5 du dossier FAC 2 (annexe sur laquelle les coûts liés à la restructuration bancaire sont précisés)
2- L’exploitant demande à la DDTM sa situation au regard des aides « de minimis » et complète l’annexe 1 du dossier FAC 2 en reportant le montant fourni par la DDTM et en ajoutant éventuellement les crédits d’impôt « bio » et « remplacement » perçus sur les 3 dernières années
3- L’exploitant demande à Cerfrance Vendée de compléter le dossier FAC 2 et d’attester les données comptables
4- L’exploitant dépose son dossier complet à la DDTM (formulaire attesté par Cerfrance Vendé + annexe 5 fournie par la banque + annexe 1 « de minimis » complétée)
Deuxième région productrice de lait de chèvres, les Pays de la Loire se distinguent par des tailles de troupeaux très élevées : plus de 340 chèvres (260 au niveau national). Chez les éleveurs spécialisés, nous atteignons 424 chèvres.
Concernant la taille des élevages Ligériens, plus des deux tiers détiennent encore moins de 300 chèvres, mais la part de très grands troupeaux augmente significativement.
En 2013, le résultat net s’élève à 13 800 €. La rentabilité des élevages recule sévèrement pour la deuxième année consécutive. Le prix du lait ne s’améliore qu’en fin d’année. D’autre part, le coût alimentaire poursuit sa hausse, pénalisant les élevages, et notamment ceux ayant opté pour des rations sèches.